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Plan d eau privé

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Message  darkman Jeu 12 Avr - 9:48

PLANS D’EAU PRIVES : TOUT POUR Y REUSSIR

Parallèlement au fort engouement pour la pêche de la carpe, s’est développé un phénomène d’expansion des centres de pêche privés à but lucratif. Cinq étoiles ou volontairement maintenus sauvages, ces sites de pêche ont plusieurs raisons de pérennité. L’échec du mouvement carpiste vers la généralisation de la pêche de nuit en est une. Le confort, la densité des cheptels, mais surtout la sécurité en sont d’autres.
Sujets à de nombreuses polémiques quant à une certaine éthique de pêche, de gestion, ou à une vision très rigide de notre passion, ces plans d’eau sont souvent associés à une classe de carpistes visant une pêche très facile et dévalorisante sur un curriculum vitae. Je suis loin de partager ce point de vu et je ne cracherai pas dans la soupe. J’ai moi-même mis au sec mes premiers mammouths sur ces berges et je prends encore beaucoup de plaisir à les fréquenter. J’en calmerai de suite certains en précisant qu’il existe des plans d’eau privés même très empoissonnés ou chaque poisson est une victoire et où j’ai vu quelques éléments d’une certaine élite carpiste se vautrer littéralement. En ce qui me concerne, j’y ai beaucoup appris, et au début, quelques capots m’ont laissé très perplexe.


Bien sur, il y a des dérives de la part de certains propriétaires mais c’est un autre sujet. Je préfère vous faire partager mon approche personnelle d’une session dans ces eaux, du choix d’une destination jusqu’aux détails techniques et stratégiques les plus importants selon moi pour y cartonner.


Pour avoir une base de réflexion fiable je parlerai d’une session type d’une semaine sur un poste qu’il faut réserver à l’avance et où la réglementation autorise la navigation et l’emploi de tout ce qui peut être à la portée d’un carpiste en terme de
matériel et d’appâts.


TOUTE UNE PRÉPARATION.


Mes deux ou trois premières sessions en plan d’eau privés ne furent pas spécialement des réussites.


Fort de mes excellents résultats dans les gravières de ma région je partais un peu trop sur de moi avec comme seuls bagages ma naïveté et des certitudes qui n’avaient de valeur que là où je passait mes week-end. Apres une grosse remise en question, je décidais que plus jamais je ne planifierai de session sur un lac privé sans m’y préparer. Il devenait intolérable pour moi de ne pas rentabiliser les sommes importantes qu’il fallait investir pour y réserver un poste.


Tout un protocole de préparation s’imposait dans ma tête.


Le choix d’une destination.


Les sites de pêches privés fleurissent sur le net comme dans la presse spécialisée. Faire un choix n’est donc pas facile. Il est important d’indexer son choix au calendrier climatique et aux dates auxquelles vous compter partir. Exemple : partir en mars dans le nord- est à mon sens un trop gros risque qui vous mènerai au capot. Si vous pouvez choisir vos congés préférez des périodes plus clémentes, l’idéal étant d’avoir laissé passé la fraie. Sinon optez pour une destination aux influences océaniques ou méditerranéennes. Le must est de partir, et ce quelque soit la destination, en automne. Cela vous garantira avec certitude une activité alimentaire soutenue des poissons et vous permettra de les toucher à des poids plus lourds. Profitez de la primeur des nouveaux plans d’eau qui s’ouvrent à la pêche et où le comportement des carpes n’est pas encore affecté par la terrible pression de pêche qui caractérise le privé.


Pour choisir un plan d’eau servez –vous de tous les outils que l’on vous met à disposition. Visitez les sites Internet pour accéder aux plans, topographies, galeries photos et règlements en vigueur. Passez du temps au téléphone avec les propriétaires, ils sont une bible de renseignements importants et une vigie de ce qu’il se passe en temps réel. C’est dans leur intérêt de vous donner des renseignements fiables. Si certaines de vos connaissances fréquentent ce plan d’eau, il est toujours bon de connaître ce qui a fait leur succès ou leurs déboires (à prendre avec des pincettes, certains ne se gêneront pas pour vous induire en erreur de peur que vous fassiez mieux qu’eux !). Cela vous aidera aussi pour vous décider et pourra vous rassurer quand aux prestations offertes.

N’oubliez pas de vous mettre au parfum sur le cheptel des différentes espèces de poissons présentes. Composer avec des nuisibles n’est pas toujours simple.


Enfin, il peut être intéressant de caler sa session pendant de grandes manifestations sportives. Pendant la coupe du monde de foot 2006 je me suis retrouvé seul avec 24 hectares devant moi pendant 5 jours…quel pied !


Le choix d’un poste.


Vous avez décidez d’une destination, le choix d’un poste s’impose à l’avance la plupart du temps. C’est à ce moment là que les doutes s’installent. Là aussi, l’avis des proprios est intéressant. Ils ont le recul des années précédentes et vous aiguilleront selon les dates que vous avez choisies. S’il faut tenir compte des infos extérieures, ne mettez pas de coté pour autant votre instinct. Refaites un point sur les infos déjà collectées. Tenez également compte des vents dominants qui balaient le plan d’eau.


Prenez un poste qui vous permet le plus grand champs d’action, qui vous garanti une certaine quiétude de pêche pour ne pas être gêné par celle de vos voisins directs.


Si vous partez en binôme, il est toujours de bon augure de réserver deux postes successifs formant un angle ou une baie. Pêchez à deux sur le même poste et vous pourrez exploiter toute la bordure de l’autre poste. Sur certains plans d’eau, cela vous offrira plusieurs dizaines de mètres de quiétude en plus de la pleine eau.


Voilà, vous avez fait votre choix, il n’y a plus qu’à attendre le jour J. Cependant si vous avez réservé longtemps à l’avance n’hésitez pas à prendre des nouvelles une fois par semaine ou par quinzaine sur les résultats enregistrés sur votre futur poste. Il n’est jamais trop tard pour en changer si vous ne le sentez plus et que les proprios veulent bien y consentir. Pêcher en toute confiance est aussi important que tout le reste.


Selon le règlement intérieur, emmenez tout ce que vous pourrez en matériel pour faire face à toutes les situations possibles (bateau, écho, radiocommandé…) et puisque de toute façon
vous allez vous poser pour une semaine rien ne sert d’être minimaliste sur la logistique (dans les limites du raisonnable).


La question cruciale des appâts : que dois-je emmener ?


C’est certainement la préoccupation majeure dans la tête de beaucoup de pêcheurs qui partent en session dans un lieu qu’ils n’ont jamais pêché. A cette question, je n’ai qu’une réponse. Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier. Pour moi, il n’y a pas d’appât miracle et quand bien même il serait fabuleux, la réussite réside davantage dans la manière de l’utiliser. Je m’en suis donné la preuve le jour ou j’ai piqué plusieurs carpes avec un mégot de clope placé dans un sac soluble rempli de micro pellet !


Quoiqu’il en soit, pour des sessions de ce type je pars toujours avec 175 kilos de pellets extrudés 15mm, 20 kilos de billes en différents diamètres, et 25 kilos de farine carpe très collante.


Ajoutez à cela mes pop up fluo roses Squid/octopus ou fluo jaunes Ananas, et je suis paré.


Si vous êtes un rouleur fou et que vous appréciez de ne pêcher qu’avec vos appâts, n’allez pas vous risquer avec une pseudo nouvelle recette. Misez sur une bouille en laquelle vous avez totalement confiance. Je n’aurai qu’un seul conseil : sous dosez vos appâts en arôme et huiles essentielles. Les carpes éduquées savent pertinemment que les appâts délavés sont moins dangereux. C’est pourquoi, en arrivant sur le poste je mets systématiquement 2 ou 3 kilos de bouillettes à tremper dans le plan d’eau. Je renouvelle chaque jour cette opération et j’utilise ces billes pour le rappel ou l’eschage.


Les farines quant à elles m’ont offertes des sessions mémorables en toute saison. Collantes, et enrichies avec des pellets ou des bouillettes écrasées je les expédie sous formes de boules avec ma canne surf pour créer un tapis super attractif et volatile sur le fond. Sur des plans d’eau sur péchés qui ne connaissent que bouillettes, pellet, ou graines, cela rend les carpes littéralement folles. C’est un bon moyen pour accoutumer plus rapidement le
poisson sur un type d’appât. Peu de carpistes tentent l’expérience sur une semaine. Ils ont tord.

LE JOUR J:
appréhension et analyse du poste.


Enfin arrivé à destination, hors de question de tomber dans la précipitation. Il reste mille questions à se poser et il faut essayer de répondre à la majorité d’entre elles pour ne pas ruiner tous les efforts déjà consentis.


Savoir ce qui s’est passé avant.


Reprenez un max d’infos sur se qui s’est passé les dernières 48 heures sur l’ensemble du plan d’eau et particulièrement sur votre poste. Faites le tour complet des postes et collectez les renseignements auprès des carpistes en place dans la mesure où ceux-ci ont une réaction amicale à cette démarche et toujours avec tact et respect. Si vous avez la chance de croiser vos prédécesseurs sur votre poste entrain de remballer, c’est encore mieux. Si le courant passe bien, un résumé précis de leurs résultats et de ce qu’ils ont benné dans l’eau sont des infos capitales qui devront influencer votre approche. S’il n’y plus personne sur votre poste depuis plusieurs jours, ce n’est pas grave, il est profitable de récupérer une zone qui a repris un peu de quiétude. La logique de votre future stratégie sera moins dépendante des éventuelles erreurs de vos prédécesseurs. Par ailleurs j’ai très souvent constaté une concentration exceptionnelle de poissons sur des postes vacants depuis quelques jours, les carpes ayant très bien décelé qu’il n’y avait plus de danger et parfois sans avoir offert de résultats aux pêcheurs qui leur avaient délicieusement tapissé les fonds.


C’est pourquoi, sur ces plans d’eau, je ne mets jamais d’amorçage en place pendant les 24 premières heures.


Une première approche.


Pendant ces 24 premières heures je ne mets pas mon bateau à l’eau pour ne pas perturber la zone qui peut très bien être littéralement envahie par les carpes. Je me contente d’un sondage à la canne, mais avec précision pour me faire une idée des profondeurs et des substrats. Les 3 premiers spots intéressants décelés se verront crédités d’un montage le plus discret possible avec soit un appât isolé ou une présentation en assiette. Une quatrième canne sera systématiquement destinée à la bordure. Tout amorçage hâtif et mal quantifié suffirait à faire fuir le poisson et à retarder les résultats. A deux pêcheurs, cette première approche permet de quadriller une large zone et de se faire une idée déjà bien précise de se qui se passe ou ne se passe pas sous l’eau. Ce début de session doit également vous laisser le temps d’observer tout mouvement des carpes en surface. A certains endroits une journée peut suffire pour répertorier les zones d’alimentation sur votre secteur ainsi que les trajets empruntés pour aller de l’une à l’autre.


Après ce laps de temps je dresse le bilan. Il est clair que si j’ai déroulé régulièrement, je peux très bien envisager de terminer ma session de la sorte, d’autant plus que de nombreux plans d’eau sous pression ne sont plus productifs qu’ainsi ! Je compare les résultats de ces premières heures avec la tendance qui règne sur le reste du plan d’eau. Les nouvelles viennent vite. Si j’ai fait la différence je continue ainsi.


Mais par expérience je sais qu’après 72 ou 96 heures de résultats réguliers, le poste mourra lentement quand même.


OPTIMISER SA SESSION :
une stratégie mixte.


Partons du principe que ces premières 24h n’aient rien donné ou presque. Il est temps, et de surcroît bien reposé, d’appréhender mon poste autrement. Il est évident que la première chose à entreprendre est un sondage plus approfondi de mon secteur de pêche avec bateau et échosondeur. Déceler tous les détails de la topographie des fonds est comme à l’habituée très important. Les moindres irrégularités du fonds peuvent constituer des hots spots.

Je n’oublie pas non plus les frontières entre substrats mous et durs. Voila deux principes ancestraux que tout le monde s’applique à mettre en avant, y compris, les dizaines de carpistes qui m’ont précédé les semaines, voire les saisons précédentes.


C’est pour cette raison que je décide de violer ces règles, mais sans les ignorer pour autant. Une seule de mes canne fera le tour de ces zones par tranche de 6 heures sur chaque spot décelé et ce pendant toute la semaine. Je fais systématiquement un carottage des fonds à l’aide d’une vieille canne au coup, qui me permet d’identifier avec certitude la composition des fonds mous. Parfois je tombe pile poil sur de véritables garde- mangé naturels (vers de vase, gammares, petites moules…). Je précise que cette canne ne sera accompagnée d’aucun amorçage, un stick soluble tout au plus !


Ensuite, je choisis une zone qui d’ordinaire en plan d’eau vierge n’aurait pas attiré mon attention en ayant pour objectifs les points suivants :

je veux contrer l’abondance de nourriture naturelle et / ou les résidus des autres pêcheurs.
Je veux engendrer une concurrence alimentaire entre les espèces de poissons en
maximisant leur densité sur le coup.
Je veux créer une concurrence alimentaire entre les carpes.
Je veux générer une confusion alimentaire chez les carpes grâce aux différents diamètres et granulométries dans l’amorçage.
Je veux solliciter le poisson sur une zone qui habituellement est vierge de nourriture exogène et de pression de pêche.
Je veux cumuler plusieurs tactiques simultanément.
Je veux pousser les poissons les plus méfiants à rentrer sur le coup ou en périphérie en stoppant le rappel.

Mise en place d’une
large zone d’alimentation.



Je benne 10 à 20 kilos d’appâts. Un mélange de bouillettes en plusieurs diamètres et de pellets de 15 mm. (10kilos de pellets pour 5kilos de bouilles). Les quantités doivent être indexées sur les températures d’eau et la densité de nuisibles et je les répartis en général dans un rectangle de 10 mètres sur 30 perpendiculairement aux vents dominants. Je positionne 2 montages au milieu de ce tapis et 1 en proche périphérie. Pour le placement de cette canne, qui vous vous en doutez est sensée piéger une mémère, je mets un point d’honneur à découvrir si un courant de fond existe. Pour cela, je lance un montage accompagné de 2 ou 3 vieilles pops up bien visibles sur fil soluble. J’attends qu’elles remontent et selon leur position je sais que les particules au fond prendront la même direction. Cette dernière définira alors la zone prioritaire de placement de la canne de périphérie. La 4eme je vous le rappelle, continuant de faire le tour des supposés hot spots à l’écart du coup principal.


Sur mes cheveux j’alterne bouillettes délavées ou double pellet de15 mm (dont 1, le plus près de l’hameçon, déjà en décomposition). L’un des deux appâts l’emporte toujours sur l’autre en terme de résultats. J’équilibre toutes mes esches et j’abuse du bonhomme de neige en petit diamètre.


Coté montages, je fais tout dans la discrétion et la simplicité. Leadcore et plombs volants sont de mise. J’utilise des hameçons de taille 2 à 1/0 selon les marques et associés à des cheveux très longs mes résultats sont montés en flèche et réduisent de beaucoup les piqûres de nuisibles. Mes bas de ligne sont en tresse gainée et plaqués sur le fonds au possible. Un cheveu ultra souple en tresse 3lbs termine le tout.


Renverser la vapeur
pour attirer les locomotives.


Je renouvelle encore 2 jours un seul gros rappel journalier en divisant les quantités par 2 chaque fois. Pour des raisons de discrétion et augmenter le rendement je redépose mes montage au radio commandé chargé d’une poignée de pellet et quelques bouillettes délavées. Sur l’hameçon, je rajoute une chaussette avec à l’intérieur 4 pellet et 2 billes, le tout pour créer une assiette plus attractive, cela rend les touches plus nombreuses. Après ces trois jours je n’amorce plus et je retourne à ma première approche avec des présentations en assiette sur mes 4 montages…un peu comme si le poste de pêche n’était plus occupé. Retour à la tranquillité, et en renversant la vapeur de la sorte, il est très courant de toucher les plus grosses locomotives sur les 2 derniers jours de la semaine.


De la sorte je fais le tour d’une large palette de stratégies d’amorçages. J élargis au maximum le panel de carpes susceptibles de finir sur mon tapis de réception, d’autant qu’il y a très souvent deux cheptels différents dans les plans d’eau privés. Les carpes de souches et celles introduites ont couramment des besoins et comportements alimentaires contradictoires. Il devient possible d’associer rendement et spécimen hunting. Par ailleurs, pour les amateurs de silures et d’esturgeons, sachez qu’il réagissent eux aussi très bien à ce système de pèche.


Quand les éléments sont
contre moi.


Avec cette stratégie en 3 phases je n’angoisse plus en découvrant un nouveau plan d’eau. Pourtant, il y a des circonstances ou tous nos efforts sont ruinés par des phénomènes contre lesquels il est difficile de lutter. Je pense à la fraie ou à des périodes de forte chaleurs. Je mise tout sur les bordures en ce qui concerne la période des amours, qui lorsqu’on est malchanceux, tombe toujours en pleine session. Je n’emploi que des appâts leurres. Il est toujours possible de toucher des mâles qui remontent le long des bordures à la recherche des pondeuses. Même si leur préoccupation majeure n’est pas de se nourrir, curiosité et agressivité peuvent déclencher des touches.


Sous la canicule, en plus d’exploiter les bordures de nuit, je n’hésite pas à décoller pendant la journée ces mêmes appâts au dessus des thermoclines avec des souvenirs de bas de ligne dépassant les 5 mètres qui m’ont offert quelques beaux poissons. Dans des eaux très turpides j’échange mes pop up fluo contre des nutritives à haut pouvoir de diffusion. Il m’est aussi arrivé d’échanger mes montages carpe contre des gros buldo et de longs bas de ligne en fluoro pour intéresser des carpes qui manifestement n’iraient jamais s’alimenter vers le fonds.

Dans des conditions complètement folles il faut savoir être flexible et ne pas s’entêter. Quand un pêcheur me dit qu’il a tout essayé, je souris toujours amicalement. Il y a toujours un poisson à prendre, et une manière d’y arriver.


J’espère que mon expérience des plans d’eau privés vous sera profitable. Certains sont de véritable casse-tête chinois. Pour ceux qui connaissent le Domaine de Saint Christophe dans l’Aube, un des plans d’eau privés parmi les plus générateurs de capots, sachez que tout ce que je viens de vous exposer m’y a rapporté près de 300 poissons en 5 sessions d’une semaine. Mais sachez aussi que mes 4 premières sessions là bas n’auront jamais fait sonné mes détecteurs…il fallait que cela change !


Ne restez jamais sur une défaite…

Source : CA MAG Auteur : blackbass
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